Le jour des vidanges II

LES HOSTIES D'AFFAIRES PLATES J'ai développé et entretenu au fil des ans sur ce blogue une passion parfaitement feinte pour la géologie. En vérité, rien ne m'intéresse moins dans ce monde que les strates rocheuses, le sable, les sédiments, la croûte terrestre et autres variétés de garnottes à marde. Mais en découvrant cette image magnifique, j'ai obtenu une érection. Oui, je me suis touché. Une voix intérieure, ou venue des confins du cosmos, m'a dit : " Tu dois ajouter cette image à ta Bible. Oui, Zhom. Tu le dois." J'ai obéi à ces paroles intimes et cosmiques. Voici donc, pour ton édification UN HOMME QUI OBSERVE DU CALCAIRE.

CHRONIQUE ÉDITORIALE DE L'OPINION COMMISSION BASTRACHACHE LA CREVETTE DE KAFKA Par Ninon MacRoberge "Je vais commencer comme il s'ensuit dans le brûle pourpoint : Mesdames et monsieur, le Québec est-il devenu Kafka? Je pose simplement la question sans me le demander car je ne suis pas une intellectuelle en ce moment. J'ai lu le Kafka il y a une période, dans un cadre obligatoire et secondaire. L'histoire raconte celle d'un homme qui se tranforme en crevette géante à son insu propre. Cela m'a semé l'horreur absolue de l'abime existentialiste pour jamais. Comme d'aucuns-chacun, je constate que rien n'arrive au Québec jamais. Jean Charest est comparable à la crevette du Kafka. La commission Bartascrac est là pour en prouver la consistance. En effet, que dire de Bacharach, sinon rien? Je crois que le Kafka avait raison de l'être. Jean Charest est une crevette géante qui se cache par devers son lit pour en faire autant. Merci et vivez avec

Une vieille et chère amie me réfère à ce site bizarre qui porte, à une lettre proche, le même nom que mon blogue : www.lesvidanges.logspot.com . Je suis confus et effrayé. Aurais-je donc enfanté à mon insu du FILS DE JÉSUS? Tout cela pue le complot diabolique. (Merci à Gibritte pour le lien.)

Vous connaissez ma passion poétique pour les choses qui sont. J'ai trouvé par magie cette superbe image de MARIE CURIE qui découvre un ÉLÉMENT avec son chapeau rigolo. Il faut toujours porter un chapeau rigolo lorsqu'on découvre quoi que ce soit.